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BAROMÈTRE

Le baromètre de l'immobilier Expression Mai/Juin 2014

Les chiffres de nos experts pour piloter vos ventes

ANCIEN

Ventes

Selon la note de conjoncture immobilière publiée par les notaires de France en avril 2014, 723 000 transactions immobilières ont été réalisées dans l'ancien au cours de l'année 2013.

Cette tendance se poursuit en début d'année 2014 avec de faibles variations à la hausse ou à la baisse d'un trimestre à l'autre, le marché restant encore désorienté et incertain pour les mois à venir. Le prix de l'ancien a baissé de -1,7 % en 2013 sur l'ensemble de l'Hexagone.

Le dernier trimestre est cependant plus contrasté avec une baisse de -0,4 % pour les appartements et une hausse de +0,3 % pour les maisons. Au 4ème trimestre 2013, les prix en Ile-de-France ont chuté de -1,9 % pour les appartements et de -1,2 % pour les maisons tandis qu'en région, ils sont restés plutôt stables avec une baisse de -0,1 % pour les appartements et + 0,3 % pour les maisons.

On retrouve toutefois des disparités selon les départements dont les évolutions de prix ont changé de sens entre le 3ème et le 4ème trimestre.

C'est le cas de l'Ain, des Hautes-Alpes et du Puy-de-Dôme qui ont enregistré des baisses de prix en fin d'année de l'ordre de -5 % alors qu'ils étaient en hausse le trimestre précédent. à l'inverse, les prix de l'immobilier ancien ont progressé en Eure-et-Loir, Alpes-de-Haute- Provence et Sarthe sur le dernier trimestre.

NEUF

Ventes

L'incertitude règne sur le marché immobilier neuf et les professionnels espèrent un retour des investisseurs pour le relancer. En 2013, les réservations à la vente ont chuté de -1,3 % par rapport à 2012 et s'établissent à 87 000 logements, un niveau très bas si l'on compare la moyenne annuelle observée entre 2000 et 2011 avec 103 000 logements vendus.

Le marché reste déprimé, incitant les promoteurs à réduire leurs volumes de mises en vente afin de stabiliser le stock de logements. Toutefois, les prix restent assez stables en raison des coûts des constructions et des terrains. Début 2014, les promoteurs ont observés une légère hausse des ventes aux investisseurs en loi Duflot tandis que le secteur de la résidence principale se maintient.

Ce retour des investisseurs devrait entraîner une hausse des prix du neuf dans les mois à venir principalement en régions. Les grandes métropoles comme Lyon, Toulouse ou Montpellier ainsi que le sud de la France sont favorisés par une forte croissance démographique. Cette embellie devrait également atteindre les 1ère et 2ème couronne parisienne ainsi que les futures gares du Grand Paris. Les constructions de maisons individuelles ont augmenté de +11 % si l'on compare février 2013 à février 2014.

Elles ont également connu une hausse de +28 % entre janvier et février 2014 et les mois de mars et avril devraient confirmer cette embellie. Toutefois, la reprise n'est pas encore annoncée puisque les ventes de maisons individuelles ont chuté de -11 % sur l'année.

EN BREF

EN PRATIQUE, COMMENT CHOISIR SON ASSURANCE-EMPRUNTEUR ?

Selon une étude de l'Observatoire des crédits aux ménages (OCM), 79% des foyers optent encore pour l'assurance-emprunteur proposée par leur banque, malgré l'ouverture du marché à la concurrence instaurée par la loi Lagarde de 2010. Méconnaissance de la loi ? Pas toujours. Nicolas Chérond, directeur des Partenariats Assurances chez Vitae Assurances (groupe Cafpi), avance une autre explication et rappelle que le libre choix de l'assurance- emprunteur est plus facile qu'on ne le pense.

Des emprunteurs mal informés ?

L'étude de l'OCM interrogeait des ménages ayant souscrit un crédit immobilier dans les 3 dernières années ou ayant l'intention d'en souscrire un dans le premier semestre 2014. Elle révèle une connaissance très incomplète des garanties souscrites. En effet, si près de 80% savent que l'assuranceemprunteur garantit le décès, ils ne sont plus que 57% à connaître la couverture pour cause d'invalidité, et 23% à savoir qu'ils peuvent être couverts en cas d'incapacité de travail. En revanche, les personnes interrogées déclarent à plus de 83% être au courant de l'ouverture à la concurrence du marché de l'assurance-emprunteur ! La loi Lagarde est donc bien connue. Le fait que le sondage ait été réalisé en décembre 2013, en pleine discussion du projet de loi Hamon (voté le 14 février 2014 et qui renforce la loi Lagarde) n'est sans doute pas étranger à cet excellent résultat. Mais, manifestement, cette bonne connaissance de la loi a peu d'effet, puisque le tiers seulement des ménages sondés a fait jouer la concurrence et que 21,1% ont finalement opté pour l'assurance-emprunteur d'un organisme autre que leur banque. Pourquoi tous les autres ont-ils pris le contrat groupe proposé par le prêteur ? Réponse : par facilité, le plus souvent...

Une assurance meilleure et moins chère avec le comparateur Vitae

Il est pourtant simple, aujourd'hui, de faire jouer la concurrence. " Le jeu en vaut la chandelle, souligne Nicolas Chérond. Ajuster les garanties au plus près de la situation et des besoins de l'emprunteur lui assure une meilleure couverture tout en permettant une économie substantielle. L'assurance peut représenter jusqu'à 15% sur le coût total du crédit "

Une assurance plus qualitative...

Vitae distribue des assurances avec des garanties de base très étendues afin de couvrir les risques de la vie courante de chaque assuré :
- le décès, quel qu'en soit la cause ;
- les invalidités de 1ère, 2e et 3e catégories, comprenant l'invalidité permanente partielle (IPP), très peu distribuée par les contrats groupe des banques. Ces derniers limitent souvent leur garantie à l'invalidité permanente totale, qui n'entre en jeu que si l'assuré est dans l'incapacité d'exercer, non pas sa profession habituelle, mais toute autre profession, c'est-àdire sans reclassement possible ;
- l'incapacité temporaire de travail, avec la prise en charge des échéances de prêt dès lors que l'assuré ne peut plus exercer sa profession habituelle.

...et plus économe.

A côté des garanties indispensables, il en existe d'autres, dans les contrats groupe, qui couvrent des faits exceptionnels, comme la pratique d'un sport dangereux ou le déplacement dans des pays en guerre. Tout le monde n'en a pas besoin. Vitae propose également d'assurer au plus juste les emprunteurs sans pour autant gonfler les quotités de couverture : doubler ces quotités double le montant des primes sans pour autant doubler les garanties.

Exemple :

Un emprunteur et un co-emprunteur s'assurent à 100% sur chaque tête. En cas de décès simultané (dans accident de voiture, par exemple), beaucoup de contrats ne vont prendre en charge que 100% de capital restant dû, au même titre qu'une garantie souscrite à 50% sur chaque tête. " Toutes les assurances emprunteurs ne se valent pas. En cas de sinistre, les conséquences d'une assurance mal choisie au départ se révèleront bien plus pénalisantes, pour les co-emprunteurs ou les ayants droit, qu'un taux d'intérêt moins bien négocié pour le crédit. Il faut en avoir conscience avant d'emprunter et ne pas hésiter à se faire accompagner par des professionnels tels que des courtiers, aussi bien pour le crédit que pour l'assurance ", conclut Nicolas Chérond.

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